Rencontre avec…
Geoffrey Létendart, président des Raid Féminin et Audrey Salvetti, cheffe de projet

Pourquoi avez-vous choisi de vous engager
auprès de Vivre Comme Avant ?

Ça a été une évidence pour nous de soutenir Vivre comme avant.

Chez Raid Féminin, nos raids sont des aventures humaines fortes, où chaque participante se dépasse, sort de sa zone de confort, crée du lien. Soutenir Vivre Comme Avant, fait écho à cette même idée : Entre femmes, on va plus loin ; Ensemble, on est plus fortes.

Chaque inscription, chaque étape du raid devient aussi un geste solidaire, un moyen de donner de la visibilité à une cause essentielle et concrète. Parce que la sororité ne s’arrête pas à l’aventure : elle continue avec celles qui se battent dans d’autres déserts, bien plus durs que les nôtres.

En quoi consiste votre partenariat ?

Concrètement, nous versons un don fixe annuel auquel s’ajoute un don variable : pour chaque participante inscrite à nos raids, on reverse un don à l’association. Les participantes ont également la possibilité de soutenir directement Vivre comme avant.
On donne aussi de la visibilité à Vivre comme avant à travers nos réseaux, nos newsletters, nos supports de communication.
Vivre Comme Avant appelle chaque participante Raid Féminin qui souhaite verser un don pour l’association et, selon les possibilités géographiques, leur donne le contact d’une bénévole proche de chez elle afin de créer un vrai lien humain. Ce n’est pas juste un logo sur une affiche : c’est une rencontre entre deux univers très complémentaires.

Pour quelles raisons acceptez-vous de témoigner ?

Parce qu’on croit en ce partenariat. Il a du sens, il est utile, et il est beau.
Témoigner, c’est une façon de mettre en lumière leur action, de montrer qu’on peut allier sport, solidarité et engagement. De plus, comme échangé avec Annie Brousse (responsable communication de Vivre comme avant), nous pensons que le sport est un allié fort pour lutter contre le cancer.
Si notre témoignage peut inspirer d’autres personnes ou d’autres structures à les soutenir, alors c’est gagné.