J’ai consulté un psy !

Témoignages de bénévoles de Vivre Comme Avant

« J’ai toujours plein de choses à lui dire !!! »

« Dès le début des traitements, on m’a « octroyée » une psy à l’hôpital. Je n’avais jamais eu l’occasion de consulter auparavant, c’était donc une première expérience. Les premières séances ont été désastreuses. Je n’avais rien à lui dire ! OK j’ai un cancer et alors ? Je gère… J’en parle beaucoup avec mes proches, c’est suffisant ! Or, les mois passant, il s’est avéré que non, le dialogue que je pouvais avoir avec mes proches était évidemment insuffisant… J’ai alors trouvé une écoute particulièrement positive auprès de ma psy … et j’ai toujours plein de choses à lui dire… !!! »

« Cela m’a apporté un grand soutien »

« J’ai rencontré une psychologue à l’hôpital et cela m’a apporté un grand soutien. On est seule face à ce cataclysme : pouvoir exprimer ses angoisses sans crainte à une personne autre que l’entourage et les comprendre m’a beaucoup aidé »

« Un espace pour déposer ce qui me faisait souffrir »

« Quelques mois après le retour au travail, j’ai ressenti un sentiment de décalage et d’incompréhension avec des difficultés persistantes, devenant, à distance des traitements lourds, moins légitimes pour moi et mes proches. J’ai consulté un psy. J’y ai trouvé un espace pour déposer ce qui me faisait souffrir, pour pleurer sur mes blessures, mes pertes, mes déceptions et les digérer en épargnant mes proches. »

 « Traverser les premières étapes de cette situation violente pour moi »

« Parler avec la psychologue de l’hôpital m’a été d’une grande aide pour dire ma souffrance en début de chimio avec la perte des cheveux et de mon image, et pour traverser les premières étapes de cette situation violente pour moi et mes proches. »

« J’ai pu mettre des mots sur mon mal-être »

« J’ai eu recours à un psy à la fin de mes traitements, donc à peu près 9 mois après mon opération. Ces rencontres m’ont beaucoup aidée, dans le sens où j’ai pu mettre des mots sur mon mal-être et mes souffrances, surtout psychologiques. »

« J’ai accepté de rencontré une psychologue et cela m’a fait un bien fou. »

« Une infirmière me voyant tellement bouleversée, inquiète et dans l’émotion profonde m’a proposé la visite d’une psychologue. Pourtant réfractaire aux psychologues, pensant surtout ne jamais y avoir recours, j’ai accepté et cela m’a fait un bien fou. »

« C’est la radiologue qui m’a conseillée de consulter un psy »

« C’est la radiologue en ville qui m’a annoncé la mauvaise nouvelle : une récidive, avec mastectomie. J’étais effondrée. Elle m’a conseillée de me faire aider et de consulter un psychiatre à l’hôpital. Je l’ai fait et je la remercie encore aujourd’hui de son conseil précieux »

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